Methods for parasitic protozoans detection in the environmental samples

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The environmental route of transmission of many parasitic protozoa and their potential for producing large numbers of transmissive stages constitute persistent threats to public and veterinary health. Conventional and new immunological and molecular methods enable to assess the occurrence, prevalence, levels and sources of waterborne protozoa. Concentration, purification, and detection are the three key steps in all methods that have been approved for routine monitoring of waterborne cysts and oocysts. These steps have been optimized to such an extent that low levels of naturally occurring (oo)cysts of protozoan can be efficiently recovered from water. Ten years have passed since the United States Environmental Protection Agency (USEPA) introduced the 1622 and 1623 methods and used them to concentrate and detect the oocysts of Cryptosporidium and cysts of Giardia in water samples. Nevertheless, the methods still need studies and improvements. Pre-PCR processing procedures have been developed and they are still improved to remove or reduce the effects of PCR inhibitors. The progress in molecular methods allows to more precise distinction of species or simultaneous detection of several parasites, however, they are still not routinely used and need standardization. Standardized methods are required to maximize public health surveillance.

 

Les voies de transmissions de nombreux protozoaires parasites dans l’environnement et leur aptitude à y produire un nombre élevé de formes transmissibles constituent des menaces persistantes tant en santé humaine qu’animale. Des méthodes conventionnelles et de nouvelles méthodes moléculaires et immunologiques permettent d’évaluer la fréquence, la prévalence, les niveaux et les origines des protozoaires transmis par l’eau. La concentration, la purification et la détection sont les trois étapes clés de toutes les méthodes agréées pour la surveillance de routine des kystes et des oocystes transmis par l’eau. Ces étapes ont été optimisées à un niveau d’efficacité tel que les faibles concentrations naturelles d’(oo)cystes présents dans l’eau sont efficacement détectées. Dix ans se sont écoulés depuis l’introduction par l’United States Environmental Protection Agency (USEPA) des méthodes 1622 et 1623, et leur utilisation dans la concentration et la détection des oocystes de Cryptosporidium et des kystes de Giardia dans les échantillons d’eau. Néanmoins, ces méthodes requièrent toujours des compléments d’études et des améliorations. Des procédures de pré-PCR ont été développées et sont encore améliorées en vue de supprimer ou de réduire les effets des inhibiteurs de la PCR. Le progrès réalisé dans les méthodes moléculaires permet une identification plus précise des espèces ou la détection simultanée de plusieurs parasites ; cependant, elles ne sont pas encore utilisées en routine et doivent être standardisées. Des méthodes standardisées sont impératives pour optimiser cette surveillance en termes de santé publique.

Tytuł
Methods for parasitic protozoans detection in the environmental samples
Twórca
Skotarczak Bogumiła ORCID 0000-0002-5253-6064
Słowa kluczowe
protozoa; parasite; detection; environment; 1622 and 1623 methods; PCR inhibitors; molecular methods
Słowa kluczowe
protozoaire; détection; environnement; méthodes 1622 et 1623; inhibiteurs de la PCR; méthodes moléculaires
Data
2009
Typ zasobu
artykuł
Identyfikator zasobu
DOI 10.1051/parasite/2009163183
Źródło
Parasite, 2009, vol. 16 no. 3, s. 183-190
Język
angielski
Prawa autorskie
CC BY CC BY
Kategorie
Publikacje pracowników US
Data udostępnienia28 wrz 2023, 08:08:07
Data mod.28 wrz 2023, 08:08:07
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